A l’occasion de leur bilan annuel de l’immobilier, les notaires de France, présentaient ce lundi 8 décembre, les premières conclusions d’une étude sur la valeur verte.
Sans surprise, les biens les plus énergivores constituent la part la plus importante des transactions. En 2024, les logements anciens classés E, F ou G par leur diagnostic de performance énergétique (DPE) ont représenté environ 40% des mutations à titre onéreux.
Leur faible performance énergétique s’est répercuté sur le prix médian. La même année, les maisons classées G se sont vendues en moyenne 25% moins cher que celles notées D (actif retenu comme bien de référence par les notaires). Les appartements classés G par leur DPE ont enregistré une moins-value de 12% par rapport aux logement notés D.
Découvrir les premières conclusions sur la valeur verte pour l’année 2024
Ariane BOONE






